Le doux soleil de ce matin est venu délicatement tirer des bras de Morphée notre petite troupe, et a éveillé en nous un désir irrépressible d’océan. Nous sommes donc partis nous emplir les poumons d’un air iodé dans un lieu portant un nom poétique et emprunt de grandeur : la dune verte. Au plus grand étonnement de toutes et tous, cet endroit était effectivement une dune, plutôt verte.
Après un repas sans doute inspiré des cuisines d’Auguste Escoffier lui-même, les désormais traditionnelles activités de l’après-midi se sont déroulées dans une ambiance joyeuse et festive.
A la fin de cette journée épique, nos jeunes aventuriers se sont encanaillés en montant de toutes pièces un casino clandestin, dont je ne mentionnerai ni le nom, ni le lieu dans ce récit.