En ce beau jour d’été, des nouvelles tardives
De vos chers héritiers, il me faut vous conter.
En vous imaginant, tête appréhensives.
Suspendu à ma plume, ravi de ce billet.
Voila deux jours et nuits, qu’ils dansent et qu’elles voguent
Voir même qu’ils visitent, les profondeurs des lacs
Saluant au passage, du haut de leurs pirogues,
Quelques jolis brochets, perdus dans cette flaque.
Et pendant que ces fous, abimes corps et âmes,
Certains bien plus futés, laisse passer leurs plumes,
Sur de joli papier, la foule les acclames.
Et puis tous réuni, promenade au marché
Au milieu des étoiles, odeurs de beignets
Et nous voila sauvé, notre lits nous invoque.